
En 1912, l'avenue Junot est percée et devient un lieu de villas très bourgeoises comme celle qu'occupait le dessinateur Francisque Poulbot (au n°13) connus pour ses illustrations représentant des titis parisiens appelés "poulbot" du nom de leur auteur.
Au n°15, l'architecte autrichien Adolf Loos a construit une maison pour le fondateur du mouvement Dada, Tristan Tzara.
Et on passe du numéro 15 au numéro 23 ! Le numéro 21 n'existe pas, et pourtant le réalisateur Henri-Georges Clouzot nous dit dans le film qu'il réalise en 1942 que l'assassin habite au 21 à la pension des Mimosas, qui n'a jamais existé.
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